On emploie à l’occasion le pronom personnel « il », soit la troisième personne du singulier, sous une forme impersonnelle. Son rôle consiste alors à exprimer le temps : « Il est dix heures ». Ce pronom apparaît aussi en matière de conditions météorologiques : « Il fait beau », « Il neige », etc.
Dans d’autres contextes, les tournures impersonnelles – parfois utiles pour marquer une distance par rapport au sujet traité – reviennent souvent. Rappelons que leur emploi alourdit inutilement et considérablement les textes, sans compter qu’il peut donner lieu à une perte de sens et à des mots de tête.
Voici quelques exemples très (trop?) courants :
Il est à noter que…
Il va sans dire que…
Il a été décidé que…
Il serait souhaitable que…
Pour rendre un texte plus vivant, la conversion des tournures impersonnelles se fait aisément en transformant le complément du verbe en sujet de la phrase. …